Le Programme pluriannuel de conservation du Lézard ocellé en Aquitaine (2008 - 2012)
Le Lézard ocellé est le plus grand lézard de France, mais cette caractéristique ne fait pas de lui le lézard le plus connu du territoire et il reste au contraire peu étudié. Au lancement du programme, en 2008, les postulats généralement admis sur l'espèce par les spécialistes et la communauté naturaliste étaient les suivants :
- Le Lézard ocellé est une espèce menacée dont les habitats sont en forte régression.
- Le Lézard ocellé et ses habitats doivent être protégés :
- Il n’existe pas d’étude globale à l’échelle de l’Aquitaine
Au vu de ces constats, Cistude Nature a proposé la mise en place d'un programme pluriannuel de conservation du Lézard ocellé en Aquitaine.
D'une manière générale, le but du programme était :
- d'acquérir les connaissances scientifiques nécessaires à la préservation du Lézard ocellé et de ses habitats en Aquitaine,
- de mettre en œuvre cette préservation par :
- - la création d'outils décisionnels : cartographie de la présence de l'espèce en Aquitaine,
- - la définition de mesures de gestion adaptées aux populations de Lézard ocellé et à leurs milieux de vie,
- - la réalisation de supports de communication.
- de fournir aux décideurs les outils nécessaires à la prise en compte de l'espèce dans la politique d'aménagement du territoire,
- de donner aux acteurs de l'environnement les outils nécessaires à la mise en place de plans de gestion conservatoire,
- de donner aux usagers des zones concernées les raisons et les moyens de participer à la sauvegarde de l'espèce,
- d'apporter à la communauté scientifique de nouvelles informations sur l'espèce.
- la répartition du Lézard ocellé en Aquitaine,
- l'étude des populations de Lézard ocellé,
- la proposition de mesures de gestion,
- la sensibilisation des acteurs de l’environnement et du public à l'espèce et à son milieu de vie.
Présentation du programme
Le Programme pluriannuel de conservation du Lézard ocellé en Aquitaine (2008 - 2012)
Le Lézard ocellé est le plus grand lézard de France, mais cette caractéristique ne fait pas de lui le lézard le plus connu du territoire et il reste au contraire peu étudié. Au lancement du programme, en 2008, les postulats généralement admis sur l'espèce par les spécialistes et la communauté naturaliste étaient les suivants :
- Le Lézard ocellé est une espèce menacée dont les habitats sont en forte régression.
- Le Lézard ocellé et ses habitats doivent être protégés :
- Il n’existe pas d’étude globale à l’échelle de l’Aquitaine
Au vu de ces constats, Cistude Nature a proposé la mise en place d'un programme pluriannuel de conservation du Lézard ocellé en Aquitaine.
D'une manière générale, le but du programme était :
- d'acquérir les connaissances scientifiques nécessaires à la préservation du Lézard ocellé et de ses habitats en Aquitaine,
- de mettre en œuvre cette préservation par :
- - la création d'outils décisionnels : cartographie de la présence de l'espèce en Aquitaine,
- - la définition de mesures de gestion adaptées aux populations de Lézard ocellé et à leurs milieux de vie,
- - la réalisation de supports de communication.
- de fournir aux décideurs les outils nécessaires à la prise en compte de l'espèce dans la politique d'aménagement du territoire,
- de donner aux acteurs de l'environnement les outils nécessaires à la mise en place de plans de gestion conservatoire,
- de donner aux usagers des zones concernées les raisons et les moyens de participer à la sauvegarde de l'espèce,
- d'apporter à la communauté scientifique de nouvelles informations sur l'espèce.
- la répartition du Lézard ocellé en Aquitaine,
- l'étude des populations de Lézard ocellé,
- la proposition de mesures de gestion,
- la sensibilisation des acteurs de l’environnement et du public à l'espèce et à son milieu de vie
Description de l'espèce - Timon lepidus
Lézard ocellé Timon lepidus (Daudin, 1802)
Anciennement nommé Lacerta lepida, différents auteurs ont proposé durant les années 1990 le nom de genre Timon, définitivement confirmé en 2007 par Arnold et al. La sous-espèce nominale qui concerne la région Aquitaine est Timon lepidus lepidus. D'autres sous-espèces existent, dont la plus remarquable est sans conteste Timon lepidus nevadensis, présente dans l'extrême sud-est de l'Espagne.
Description
La robe du Lézard ocellé est caractérisée par la présence d’ocelles bleus plus ou moins visibles. Le fond sombre est moucheté de vert et de jaune. Les ocelles bleus apparaissent au stade juvénile, et sont inexistants chez les nouveau-nés, qui présentent une robe gris-verdâtre mouchetée de points blancs.
Dimensions
Le Lézard ocellé est le plus grand Lézard d'Europe. Les plus gros spécimens atteindraient une longueur totale de 75 cm (25 cm museau-cloaque), pour un poids de 345 g. Ces dimensions maximales sont observées dans la moitié sud de l'Espagne. En Aquitaine, les Lézards ocellés sont en limite nord de répartition, et présentent logiquement des dimensions plus modestes. Dans le cadre d'un suivi de population sur le littoral girondin, le plus gros mâle mesuré ne dépassait pas une longueur totale de 46 cm (18 cm museau-cloaque), pour un poids de 164 g. Sur 34 individus, la taille moyenne est de 36+/-4,8 cm (15+/-1,4 cm museau-cloaque) pour un poids moyen de 112+/-32 g.
Dimorphisme sexuel
Le dimorphisme sexuel est très marqué chez cette espèce. Les mâles sont plus grands et paraissent plus trapus que les femelles. La tête des mâles est très grosse, et peut même paraître disproportionnée par rapport au reste du corps : la longueur du crâne oscille entre 22 et 33 % de la longueur museau-cloaque chez les mâles et entre 18 et 27 % chez les femelles.
Risques de confusion
Le Lézard ocellé est une espèce impossible à confondre : en Aquitaine, seules deux espèces sont généralement rencontrées en syntopie avec le Lézard ocellé : le Lézard vert occidental, Lacerta bilineata et le Lézard des murailles Podarcis muralis.
Le Lézard vert occidental Lacerta bilineata Daudin, 1802
Le Lézard vert est un lézard de taille plus modeste (longueur totale maximum de 40 cm, pour 13 cm de la tête au cloaque). La gorge est verte ou bleu vif (souvent chez les mâles) et sa robe est généralement vert clair piquetée de petits points noirs. Cette dernière est cependant très variable, notamment chez les femelles et les jeunes qui arborent parfois des lignes et tâches noires.
Le Lézard des murailles Podarcis muralis (Laurenti, 1768)Le Lézard des murailles est un petit lézard gris de 7 à 8 cm du museau au cloaque pour une longueur maximale de 20 cm. Sa robe marron est souvent marbrée ou lignée de noir, avec des motifs variés. La couleur de la face ventrale est variable, et parfois rouge vif. Certains individus peuvent malencontreusement être confondus avec de jeunes Lézards ocellés de part la présence, surtout chez les mâles, d’écailles bleues parmi les écailles ventrales latérales.
Biologie et écologie, les activités d'un ectotherme
Cycle de vie
Comme la majorité des Reptiles, le Lézard ocellé est un animal ectotherme (c.a.d. un animal dont la température varie en fonction de la température du milieu). Cette caractéristique entraîne un rythme d'activité cyclique lié aux variations climatiques saisonnières.
Phénologie
Le Lézard ocellé sort généralement d’hivernation entre fin février et début mars. Diurne, il est actif et s’expose à toute heure de la journée en début de saison d’activité. Comme une majorité d'ectotherme, cette activité de thermorégulation est indispensable pour acquérir la température corporelle permettant les activités de chasse, de reproduction, etc. De par sa grande taille, cette activité est prolongée chez le Lézard ocellé, et il est fréquemment observé en action de thermorégulation sur des postes de chauffe bien ensoleillés. En contrepartie, cette activité l'expose aux prédateurs et nécessite une vigilance de chaque instant.
Intensité des observations de Lézard ocellé en Aquitaine sur la base des données intégrées au réseau participatif Faune-Aquitaine (sur la base d'environ 300 données entre 2003 et 2011 - source www.faune-aquitaine.org)
A partir du mois de juillet, les fortes chaleurs maintiennent au contraire les lézards à l’abri dans leurs caches et ceux-ci ne sont plus visibles qu’au tout début de la matinée ou en fin de soirée. Le Lézard ocellé rentre généralement en hivernation au début du mois de novembre, et regagne un refuge à l'abri du froid et des variations de température. Au printemps suivant, les premiers Lézards ocellés s'observent à partir de mi-février à début mars lorsque les conditions redeviennent favorables.
Sur la base des résultats de l'inventaire régional, les périodes d'observations courent entre le 20 février et le 14 novembre sur le littoral atlantique, et entre le 5 avril et le 10 novembre sur les coteaux de Dordogne et Lot-et-Garonne. Ces différences entre les deux grands types de milieux colonisés par le Lézard ocellé en Aquitaine s'expliquent probablement par :
- un plus faible nombre d'observations sur les coteaux de Dordogne et Lot-et-Garonne, qui limite de ce fait le nombre d'observations aux dates les plus extrêmes,
- un climat plus froid l'hiver, qui repousse probablement la sortie d'hivernation des animaux sur les coteaux de Dordogne et Lot-et-Garonne.
Mâle adulte observé en activité le 02 février 2009
Manger ou être mangé ?
Comme la grande majorité des lézards européens, le Lézard ocellé est principalement insectivore. Sa taille lui permet de s'attaquer à toutes sortes de grands invertébrés : coléoptères, orthoptères, gastéropodes, etc. Mais il est capable d'étendre son régime alimentaire à d'autres ressources trophiques : petits vertébrés, œufs, ou encore fruits et baies.
Le Lézard ocellé, tout particulièrement au stade juvénile, est la proie de nombreux prédateurs : rapaces (par exemple Buse variable ou Circaète Jean-le-Blanc), grands laridés sur le littoral, grands mammifères (Renard roux, Sanglier, Chien et Chat), mustélidés, ou serpents (Couleuvre verte et jaune et Coronelle girondine).
La Coronelle girondine vit en syntopie avec le Lézard ocellé sur les deux types de milieux colonisés par le Lézard ocellé en Aquitaine. Ce serpent est spécialisé dans la prédation des petits reptiles
Aucune observation directe de prédation n'a été réalisée lors du programme d'étude. Lors du suivi par radiopistage réalisé sur le littoral girondin, deux mâles adultes ont été retrouvés morts suite à des actes de prédation. Le premier a vraisemblablement été victime d'un chien en liberté sur la dune, et le deuxième d'un rapace (type Buse variable ou Milan noir).
Répartition de l'espèce
Répartition mondiale
L’aire de répartition naturelle de l’espèce se cantonne à la péninsule ibérique, au sud de la France et à l’extrême ouest de l’Italie. Elle fréquente les zones sous influence méditerranéenne et peut atteindre une altitude de 2100 mètres au sud de son aire de répartition.
En France, le Lézard ocellé est globalement réparti en trois grands noyaux de populations. La principale aire de répartition concerne le pourtour méditerranéen, depuis les Alpes-Maritimes jusqu’en Ariège, Lozère et Aveyron. Un deuxième important noyau couvre le département du Lot. Les populations de Dordogne et du Lot-et-Garonne en sont la continuité. Enfin, le Lézard ocellé est présent sur le littoral atlantique, depuis le sud des Landes jusqu’à l’île d’Oléron en Charente-Maritime.
Répartition régionale
Les prospections menées par l'association dans le cadre du programme ont permis l'acquisition d'environ 400 données de présence, réparties sur les quatre départements de présence de l'espèce. Sur la base d'une restitution par maille de 10 x 10 km (utilisé dans le cadre des Atlas des Amphibiens et Reptiles d'Aquitaine), l'évolution des connaissances sur la répartition du Lézard ocellé en Aquitaine est flagrante entre l'avant et l'après-programme. Le nombre de mailles validées pour l'espèce passe ainsi de 17 à 46 mailles, soit une progression de 170 % !!
Synthèse de la répartition de l'espèce sur le littoral aquitain
Dans les Landes, les trois principales populations se situent sur les secteurs de Tarnos, de Huchet, et sur le territoire du Centre d'Essais des Landes. Une autre population, apparemment plus petite et moins largement répartie, existe sur Mimizan. Ailleurs, le Lézard ocellé est rare ou absent.
Du sud vers le nord, le Lézard ocellé n'a pas été contacté sur Capbreton et Hossegor, mais il est à nouveau présent à partir de Vieux-Boucau et Messanges, jusqu'à Huchet. Au nord d'Huchet, les contacts sont plus occasionnels : ils concernent le nord de Contis-les-Bains et vont en augmentant jusqu'au sud de Mimizan. Au nord du CEL, le Lézard ocellé atteint Biscarosse.
En Gironde, la répartition est plus homogène, mais des disparités subsistent entre différents secteurs. Le Lézard ocellé est absent ou très rare au sud du bassin d'Arcachon, mais il subsiste au sud de la dune de Pyla. Au nord du Bassin, l'abondance de l'espèce augmente doucement pour atteindre son maximum sur le secteur du Porge. L'espèce se raréfie ensuite progressivement jusqu'au nord d'Hourtin, mais redevient fréquente au sud et au nord de Montalivet-les-Bains. L'espèce n'a ensuite été observée qu'à une seule reprise au nord de Soulac-sur-Mer, quasiment à hauteur du Verdon-sur-Mer.
Synthèse de la répartition du Lézard ocellé sur les coteaux secs de Dordogne et Lot-et-Garonne
En Dordogne, les principales populations occupent le Périgord noir, où elles sont en continuité avec les populations du nord du Lot. Les pelouses occupées par l'espèce y sont relativement nombreuses et les échanges d'individus restent peut-être possible entre les différentes stations. L'espèce semble toutefois absente du Sarladais. Le Lézard est présent de manière plus ponctuelle en remontant vers le nord-ouest, dans un axe Thenon - Mareuil (et en atteignant le sud de Thiviers au nord). Dans cette partie du département, les contacts sont beaucoup plus rares, et les stations apparaissent pour la plupart totalement isolées. Le Lézard ocellé semble également plus rare dans le sud du département, mais il atteint toutefois le sud du fleuve Dordogne. Les populations y sont probablement en lien avec celles du sud du Lot et du Lot-et-Garonne.
Dans le Lot-et-Garonne, le Lézard ocellé n'avait été contacté qu'à une seule reprise en 1989. En 2011, deux nouvelles observations ont permis de confirmer la présence contemporaine de l'espèce dans le département. L'espèce n'a toutefois été observée qu'à une seule reprise au sud de Fumel. Elle est peut-être présente ailleurs, notamment dans l'axe Villeneuve-sur-Lot - Tournon-d'Agenais, mais la présence de l'espèce n'a pu être confirmée avec certitude à ce jour.
Déplacements & habitats
Déplacements
Le suivi radio-télémétrique a permis d'étudier les déplacements quotidiens des Lézards ocellés. Il a également permis aussi d'observer certaines activités difficiles à observer, et pourtant précieuses en terme de conservation. Ce constat s'est vérifié durant notre suivi avec la découverte de déplacements des lézards dans des milieux habituellement considérés comme peu favorables à l'espèce.
Plusieurs individus se sont ainsi déplacés à plusieurs kilomètres à l'intérieur des terres. Le Lézard ocellé n'est donc pas cantonné au milieu arrière dunaire sur le littoral Aquitain. Ces déplacements ne sont pas extraordinaires, puisqu'ils ont également été observé dans le département des Landes à plusieurs reprises.
Exemple de pénétration dans les terres du Lézard ocellé, sur une zone ouverte du département des Landes
Ces observations mettent en évidence l'existence de zones de présence bien plus étendues que ne laissait supposer la littérature. La population du littoral girondin, que l'on pensait cantonnée à la dune grise, s'étend probablement bien plus dans les terres, tout du moins dans les secteurs les plus favorables à l'espèce (forêts claires et dunes boisées, hors forêts de production). Les Lézards ocellés utilisent les routes, les chemins forestiers et les pare-feux comme axe de déplacements. Ces contextes de lisière relativement ouverts sont de véritables corridors pour l'espèce et leur permettent d'atteindre et de coloniser de nouveaux habitats favorables.
Habitats ...
Le Lézard ocellé est une espèce typique des habitats méditerranéens. De manière générale, il occupe des milieux ouverts, qui présentent une végétation rase ou nulle. Ces milieux sont donc les pelouses rases, les landes sèches, les milieux dunaires, les bois clairs, les zones d’affleurement de roches ou de terres. Il aime les structures complexes, avec arbres, cailloux, buissons au contraire des zones cultivées.
La présence du Lézard ocellé est fortement dépendante de la qualité et de la pérennité des habitats favorables et plus particulièrement de la présence de caches disponibles pour l’espèce. Ces caches peuvent être des blocs de pierres, des terriers de rongeurs, des souches, ou encore des tas de bois morts.
... du Littoral Aquitain
Le faciès du paysage dunaire du littoral aquitain est lié à plusieurs facteurs ambiants : la salinité, la puissance du vent et les mouvements du sable. L'impact de ces différents facteurs évolue d'ouest en est et détermine la structure de la végétation. A proximité immédiate du rivage, les facteurs de la dynamique côtière (marée, houle, salinité, tempêtes….) et la pauvreté du sol déterminent une végétation relativement homogène. Au fur et à mesure que l’on s’éloigne de la côte, les effets de ces différents facteurs s'estompent et permettent l'apparition de groupements végétaux plus diversifiés. Protégée du vent, la lette bénéficie de la stabilisation des sables, ce qui permet l'installation d'une végétation de type pelouses rases. On parle alors de lette grise, ou de dune grise.
Schéma (source ONF) et illustration de la structuration fonctionelle de la dune boisée
La mise en relation entre les données de présence et la qualité de l'habitat a mis en évidence les différentes relations qu'il existe entre le Lézard ocellé et les écosystèmes d'accueil. Celles-ci sont résumées dans le tableau ci-dessous.
Les anciennes pistes allemandes sont des habitats préférentiels pour le Lézard ocellé !
Les coteaux secs de Dordogne et Lot-et-Garonne
Les sites où le Lézard ocellé est présent en Dordogne et Lot-et-Garonne sont en grande majorité des coteaux secs à dominantes calcicoles. Les pelouses de ces coteaux suivent une dynamique classique qui tend continuellement à la fermeture du milieu par boisement. Cette dynamique est freinée par l'action de différents facteurs d'origines diverses tels que l'érosion, le pâturage ou encore les incendies. A l'heure actuelle, ces facteurs ne suffisent malheureusement pas pour contrecarrer la fermeture du milieu.
Suite à l'abandon généralisé du pâturage et de l'entretien de ce type de parcelles, la tendance actuelle est à une nette fermeture des coteaux secs de Dordogne et de Lot-et-Garonne...
Dynamique des pelouses sèches calcicoles (d'après Maubert & Dutoit 1995 et Piqueray & Mahy 2010)
Cistude Nature a réalisé une caractérisation de l'ensemble des sites favorables à l'espèce de Dordogne et Lot-et-Garonne. Les résultats ont été communiqués aux propriétaires et gestionnaires des sites et sont les premiers outils de protection et de conservation du Lézard ocellé
Exemple de caractérisation d'un site de présence du centre-est de la Dordogne